Pourqui est désireux de comprendre et d’approfondir sa foi chrétienne, les musulmans sont une main tendue pour se poser les bonnes questions Et il se trouve que la Bible contient les bonnes réponses. Parfois, la Bible ne dit pas explicitement les choses. Pourtant, un faisceau d’éléments convergents vient prouver la pertinence d’une affirmation.
Dieun’est point un homme pour mentir, Ni fils d’un homme pour se repentir. Ce qu’il a dit, ne le fera-t-il pas? Ce qu’il a déclaré, ne l’exécutera-t-il pas?
Carl’ouvrage bâti par l’homme n’est pas immuable et peut se dégrader. L’effondrement du pont Morandi à Gênes, le 14 août 2018, nous l’a durement rappelé. Par Jésus Christ, Dieu a établi un pont entre lui et nous. La communication entre Dieu et nous avait été rompue par le péché originel, mais dans son amour, Dieu a voulu
QuandIl bénit, il n’y a aucun chagrin qui suit. S’il y a des douleurs et des difficultés, c’est que la relation ne venait pas de Dieu ! 6. Dieu les enlève de notre vie car nous comptons plus sur elles que sur Lui. Psaumes 108 :13 Le secours de l’homme n’est qu’illusion. (Segond 21) Dieu est un Dieu jaloux qui ne tolère aucun
Dieun'est point un homme pour mentir, ni un fils d'homme pour se repentir. Est-ce lui qui dit et ne fais pas, Qui parle et n'exécute pas?
Ilme semble que la clé est de remarquer ce que Samuel dit au verset 29 : « Celui qui est la force d’Israël ne ment point et ne se repent point, car il n’est pas un homme pour se repentir. » Je comprends cela comme signifiant que Dieu ne se repent pas comme un homme, c’est-à -dire de la manière dont l’être humain se repent.
VSSV. Position Accueil Croissance Dieu n’est pas un menteur Il pourvoit à tous nos besoins Description de l'émission Dieu nous exhorte aujourd’hui sur la base de Philippiens 46 de ne plus nous inquiéter de rien, mais de lui faire connaître nos besoins en TOUTES choses par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Si Dieu nous promet en Philippiens 419 qu’Il pourvoira à tous nos besoins selon Sa richesse, avec gloire, en Jésus-Christ, pourquoi nous inquiéter pour notre vie, pour notre avenir? Si Dieu nous déclare en Nombres 1319 qu’ll n’est point un homme pour mentir, ni fils d’un homme pour se repentir, que ce qu’Il nous promet Il le réalise, pourquoi ne mettons-nous pas en Lui notre confiance dans tous les aspects et détails de notre vie, au lieu de nous confier aux hommes et aux choses de ce monde pervers, corrompu et ténébreux? Frère en Christ, sœur en Christ, Dieu nous rassure en 2 Corinthiens 98 qu’Il peut nous combler de toutes sortes de grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous nos besoins, nous ayons encore en abondance pour toute bonne œuvre. Puisse cette courte vidéo augmenter votre foi afin que vous mettiez en Lui toute votre confiance dans tous les aspects et moindres détails de votre vie. 0 0 votes Évaluation de l'article Would love your thoughts, please
Copie entièrement retranscrite pour un bac blanc. Note obtenue 16/20. Dernière mise à jour 01/11/2021 • Proposé par gymnasticman élève Texte étudié Dostoievski avait écrit "Si Dieu n'existait pas, tout serait permis." C'est là le point de départ de l'existentialisme. En effet, tout est permis si Dieu n'existe pas, et par conséquent l'homme est délaissé, parce qu'il ne trouve ni en lui, ni hors de lui une possibilité de s'accrocher. Il ne trouve d'abord pas d'excuses. Si, en effet, l'existence précède l'essence, on ne pourra jamais expliquer par référence à une nature humaine donnée et figée; autrement dit, il n'y a pas de déterminisme, l'homme est libre, l'homme est liberté. Si, d'autre part, Dieu n'existe pas, nous ne trouvons pas en face de nous des valeurs ou des ordres qui légitimeront notre conduite. Ainsi, nous n'avons ni derrière nous, ni devant nous, dans le domaine lumineux des valeurs, des justifications ou des excuses. Nous sommes seuls, sans excuses. C'est ce que j'exprimerai en disant que l'homme est condamné à être libre. Condamné par ce qu'il ne s'est pas crée lui même, et par ailleurs cependant libre, parce qu'une fois jeté dans le monde il est responsable de tout ce qu'il fait. L’existentialisme ne croit pas à la puissance de la passion. Il ne pensera jamais qu'une belle passion est un torrent dévastateur qui conduit fatalement l'homme à certains actes, et qui, par conséquent, est une excuse. Il pense que l'homme est responsable de sa passion. L'existentialisme ne pensera pas non plus que l'homme peut trouver un secours dans un signe donné, sur terre, qui l'orientera; car il pense que l'homme déchiffre lui même le signe comme il lui plaît. Il pense donc que l'homme, sans aucun appui et sans aucun secours, est condamné à chaque instant à inventer l'homme. Sartre, L'existentialisme est un humanisme Jean-Paul Sartre 1905-1980 fut sans aucun doute l'écrivain français le plus populaire au cours du XXe siècle. Son talent était tellement prestigieux qu'il en reçut, comme récompense, le prix Nobel de littérature qu'il refusa. Dans ce passage du livre L'existentialisme est un humanisme, il évoque quelle est la cause, mais aussi les conséquences de la liberté humaine avec comme cause la non-existence de Dieu et comme conséquence le délaissement de l'homme, la responsabilité de ce qu'il fait et de ce qu'il est, mais aussi une immense liberté. On peut alors se poser la question à savoir quelles sont les conditions pour que l'homme soit libre? Nous verrons donc dans un premier que la liberté, c'est d'abord le délaissement puis dans un deuxième temps que l'homme n'est libre que si l'existence précède l'essence puis dans un troisième temps que l'homme est condamné à être libre. I. La liberté, c'est d'abord le délaissement La liberté, c'est d'abord le délaissement. L'homme est délaissé que si Dieu est mort ce qui va permettre à l'homme d'être libre et responsable de ces choix. Le délaissement que peut ressentir tout homme équivaut à la conscience de sa solitude. Or pour que tout homme ait conscience de sa solitude, il faut que Dieu ne soit plus de ce monde. Sans Dieu, l'homme est délaissé. En effet, la croyance en l'existence de Dieu permet d'excuser nos comportements. Par exemple je peux m'excuser à mon patron de ne pas travailler le samedi à cause de ma religion juive. Par contre, avec la non-existence de Dieu, je me retrouve sans norme et sans valeur et donc, comme disait Dostoïevski "Tout serait permis". Je pourrais donc tout faire, comme il me plaît, comme je le veux, sans aucune contrainte étant donné qu'il n'y aura pas derrière moi Dieu pour me donner les règles de la vie. Ce délaissement va donc permettre d'être libre et donc d'être responsable de ses choix. En effet si l'homme est délaissé, il va donc être libre et responsable de ses choix. L'homme est donc libre, il pourra faire tout ce qu'il voudra. L'homme n'aura donc pas de valeur spirituelle qui lui permettait d'avoir un comportement encadré. Par contre, si l'homme est libre, il sera donc responsable de ses actes, de ses choix, il ne trouvera aucune excuse face à ce comportement, contrairement à l'existence de Dieu. On peut donc dire que le délaissement me laisse face à moi-même, totalement responsable de moi. Ainsi je n'aurai aucune excuse contre mes orientations. Par exemple si je ne mange pas de porc à cause de ma religion musulmane, je ne pourrai pas dire, si Dieu n'existait pas, que je n'en mange pas à cause de mes convictions religieuses. Je ne trouverai pas d'excuse et je pourrai dire que si je ne mange pas de porc c'est à cause de moi, de mes choix et non d'un tel. le délaissement est donc un aspect fondamentale de la liberté. L'homme libre ne peut plus se trouver d'excuses puisqu'il n'est le résultat de rien d'autre, mais que de lui-même. II. L'homme n'est libre que si l'existence précède l'essence Dans cette deuxième partie, nous allons expliquer l'expression "l'existence précède l'essence", mais aussi savoir pourquoi ce terme permet à un homme d'être libre. En ce qui concerne que l'existence précède l'essence, l'existentialisme déclare qu'il y a un être qu'il ne peut être définit avant son existence, et que cet être, c'est l'homme. Cela veut dire que l'homme apparaît dans le monde, existe et se définit après. Si l'homme ne peut être défini au commencement de son existence, c'est qu'il n'est d'abord rien, il devient ensuite, et devient tel qu'il choisit de se faire. Puisqu'il n'y a pas de Dieu pour le concevoir, pour lui donner une âme prédéterminée "Si Dieu n'existe pas, nous ne trouvons en face de nous des valeurs ou des ordres qui légitimeront notre conduite" puisqu'à l'aube de son existence l'homme n'est rien, son avenir lui appartient,ce qu'il est, ce qu'il sera lui apparaît. L'homme détermine lui-même son essence, l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait, le résultat de son projet d'être. Il n'est pas ce qu'il a voulu être, car vouloir entend une volonté consciente, mais il est le résultat de ces choix, il est donc responsable de ce qu'il est. Tout existe avant d'être, l'existence est la condition préalable à l'essence, ainsi l'existence précède l'essence. A travers cette explication, certains éléments montrent que l'homme est libre. Il y a donc une relation entre être libre et l'existence précède l'essence. Si l'homme détermine lui-même son essence alors au-delà de la responsabilité individuelle, l'homme est responsable devant l'humanité. L'homme en se définissant à travers ces choix, choisit de donner un certain modèle, une certaine image de l'homme ex aimer son prochain. Il engage ainsi par ses choix, l'ensemble de l'humanité. L'acte individuelle engage toute l'humanité puisqu'en me choisissant, je choisis l'homme. L'homme étant existant d'abord, et ensuite "étant un être construit par ses choix, pas de moral, pas d'excuse, l'homme est donc seul", il choisit ses valeurs seul, il est donc libre. C'est-à -dire que si l'homme seul choisit l'essence de l'homme, il faudra donc qu'il la détermine selon ses convictions sans se préoccuper des valeurs venues de l'extérieur. Il faudra qu'il choisisse lui-même sans contrainte, selon sa volonté, c'est-à -dire librement. Ainsi nous avons donc pu voir que si l'existence précède l'essence alors l'homme sera libre, car c'est lui-même qui choisit librement l'essence. III. L'homme est condamné à être libre Condamné à être libre signifie que l'homme quoi qu'il fasse ne peut échapper à sa liberté par sa responsabilité et par ses choix En ce qui concerne la responsabilité, l'homme dans un monde libre est responsable de tout ce qu'il fait. "Condamné parce qu'une fois jeté dans le monde il est responsable de tout ce qu'il fait". Ainsi si l'homme n'est pas responsable d'être homme, il est tout de même responsable de ne pas l'assumer ou de s'assumer. En faite l'homme est responsable de sa liberté. Être libre ce n'est pas forcément faire ce que je veux, mais ce que je choisis. L'action humaine permet l'affirmation de la liberté. Ainsi lorsque je fais une action qui montre que je suis libre de choisir ex aller à un supermarché plutôt qu'à un autre, je serai donc responsable de cette action et donc responsable de ma liberté. On peut donc dire qu'il y a un lien entre la liberté et la responsabilité, car lorsque je fais une action humaine librement, je suis responsable de cet acte. On peut donc dire que l'homme est condamné à être libre par sa responsabilité. En ce qui concerne le choix, je suis condamné à faire des choix, ce qui prouvera ma liberté. En effet, je fais le choix de faire une action qui affirme ma liberté. D'ailleurs Sartre a dit que "On n'a jamais autant était libre que pendant la guerre, sous l'occupation allemande", c'est-à -dire que nous ne sommes jamais apparus aussi libres que lorsque nous devons choisir seuls et que nous sentons que l'avenir ne sera que ce que nous en faisons individuellement et collectivement. Ainsi lorsque je fais un choix, je choisis consciemment et seul, sans aucune contrainte extérieure, je n'ai donc pas besoin d'une aide extérieure pour ce que je dois choisir donc je choisis seul en liberté. Lorsque je fais un choix, je prends bien évidemment une part de responsabilité, mais aussi un engagement dans le futur, ainsi je suis libre de choisir le futur et donc d'inventer. L'homme est donc condamné à inventer l'homme. Nous avons donc pu voir que l'homme est condamné à être libre par sa responsabilité et ses choix, mais aussi dans le futur. Conclusion Pour que l'homme soit libre, il faut comme nous l'avons vu précédemment que l'homme soit délaissé, que Dieu n'existe pas, mais aussi que l'existence précède l'essence. Sartre soutient dans ce texte que l'homme est libre et donc pleinement responsable de ce qu'il fait et de ce qu'il est. D'après l'auteur, cette infinie liberté est le point de départ de l'existentialisme c'est-à -dire de l'idée selon laquelle "l'existence précède l'essence". On peut néanmoins se questionner sur la vision libérale de Sartre, alors qu'il est communiste. On peut également constater qu'il est ici à l'antithèse de la pensée de Pascal.
1 Nombres 2319 “Dieu n’est point un homme pour mentir, ni fils d’un homme pour se repentir. Ce qu’il a dit, ne le fera-t-il pas ? Ce qu’il a déclaré, ne l’exécutera-t il pas ?” 2 Deutéronome 79 “Sache donc que c’est l’Éternel ton Dieu, qui est Dieu. Ce Dieu fidèle garde son alliance et sa miséricorde jusqu’à la millième génération envers ceux qui l’aiment et qui observent ses commandements.” 3 Psaumes 910 “Ceux qui connaissent ton nom se confient en toi. Car tu n’abandonnes pas ceux qui te cherchent, ô Éternel !” 4 Psaumes 2510 “Tous les sentiers de l’Éternel sont miséricorde et fidélité, pour ceux qui gardent son alliance et ses commandements.” 5 Esaïe 264 “Confiez-vous en l’Éternel à perpétuité, car l’Éternel, l’Éternel est le rocher des siècles.” 6 2 Timothée 213 “Si nous sommes infidèles, Il demeure fidèle, car Il ne peut se renier lui-même.” 7 1 Pierre 419 “Ainsi, que ceux qui souffrent selon la volonté de Dieu remettent leurs âmes au fidèle Créateur, en faisant ce qui est bien.” 8 2 Pierre 39 “Le Seigneur ne tarde pas dans l’accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient ; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. “ 9 Hébreux 1111 “C’est par la foi que Sara elle-même, malgré son âge avancé, fut rendue capable d’avoir une postérité, parce qu’elle crut à la fidélité de celui qui avait fait la promesse.” 10 Ézéchiel 1225 “Car moi, l’Éternel, je parlerai; Ce que je dirai s’accomplira, Et ne sera plus différé; Oui, de vos jours, famille de rebelles, Je prononcerai une parole et je l’accomplirai, Dit le Seigneur, l’Éternel.” La rédac’ vous recommande Le livre “Bonjour Saint-Esprit” écrit par Benny Hinn, un livre pour toutes les personnes qui s’interrogent sur la personne du Saint-Esprit, sont prêtes à Le rencontrer intimement et personnellement et disposées à écouter Sa voix.
Le temps est bien sombre en Israël lorsqu'Élie paraît sur la scène, pour l'éclairer de la lumière de Dieu. L'idolâtrie de Jéroboam est surpassée en ce temps-là par l'abomination des Sidoniens, et Baal triomphe. Dans le pays, peu nombreux sont ceux qui refusent de fléchir les genoux devant ce dieu étranger, et l'Éternel n'a plus de témoin pour proclamer sa gloire. C'est alors que Dieu forme son serviteur, dans le secret des monts de Galaad, loin des festivités de Samarie et des autels idolâtres, pour être son témoin au jour fixé par lui. Élie sera cet homme-là parce qu'il possède les caractères requis pour une telle mission communion avec Dieu, obéissance à la parole de Dieu, persévérance dans la prière c'est ce dernier point que nous aurons plus particulièrement devant nous. Élie est un homme qui se tient devant son Dieu; il réalise pleinement qu'il est dans sa lumière; aucune ombre venant du monde ou de lui-même ne l'obscurcit. Il vit dans la séparation du mal et peut, de ce fait, recevoir les communications des pensées de l'Éternel au sujet de son peuple. La première prière d'Élie Jacques 517 L'apostasie de la nation avait, sans nul doute, conduit ce fidèle serviteur à supplier son Dieu dans la douleur et l'amertume de son âme. Mais que faire lorsque la fervente supplication du juste» n'obtient pas de réponse? Persévérer. Alors l'Éternel lui fait discerner ce qu'il doit demander désormais le jugement de ce peuple en discipline pour qu'il retourne à son Dieu. Il faut parvenir à la lecture de l'épître de Jacques pour y voir rapportée cette surprenante révélation. Le ciel fermé au-dessus du pays, pas de pluie, pas de bénédiction! Ce châtiment était inscrit depuis longtemps dans le livre de Dieu, en conséquence de l'infidélité du peuple Deutéronome 1117; 2823; mais la délivrance était promise aussi, par la confession et la prière 1 Rois 835. L'Éternel dévoile donc à son prophète qu'il doit en arriver à cette extrémité, devant la persistance et l'aggravation du péché d'Israël. Élie, nous pouvons bien le penser, ne devait éprouver aucun plaisir à voir le bon pays de la promesse transformé en terre de désolation et ses habitants consumés par la famine. Mais telle était la pensée de Dieu en vue de sa gloire et pour la délivrance de son peuple de l'idolâtrie. Élie priera donc avec instance pour que le ciel ne donne pas de pluie aussi longtemps que Dieu le jugera bon. Nous sommes aussi appelés à prier pour le peuple de Dieu actuel. Nous avons bien conscience que nous ne savons pas toujours demander ce qu'il faut comme il convient. Cependant l'Esprit Saint nous vient en aide, dans la mesure où nous marchons dans un chemin droit avec une bonne conscience. Sachons aussi être persévérants dans la prière» Romains 1213, comme Élie le fut. Dieu répond toujours à la prière de la foi, mais en son temps et selon ce qui sied à sa gloire. La deuxième prière d'Élie 1 Rois 1720, 21 Élie est envoyé par l'Éternel dans la contrée de Sidon afin d'être nourri par une pauvre veuve sans ressource. Jésus lui-même y fera allusion Luc 425, mais pour montrer comment le prophète est venu apporter la bénédiction dans cette terre étrangère. C'est aussi ce que Dieu a fait pour nous pendant qu'Israël se trouve sous la sentence de jugement. La grâce de Dieu a pourvu au maintien de la vie dans cette maison de Sarepta, en réponse à la confiance de cette veuve. Celle-ci profite sans doute avec reconnaissance de la nourriture que Dieu renouvelle chaque jour de l'année. Mais cela ne suffit pas; il faudra que sa conscience soit placée dans la lumière de Dieu par une terrible épreuve la mort de son fils unique. Quel travail divin dans l'âme labourée de cette pauvre femme! La mort est là , qui remet en mémoire son péché; mais elle va connaître le Dieu qui délivre de la mort par la résurrection. Élie s'adresse alors à l'Éternel son Dieu. Son cri est d'abord un écho du pouvoir oppressant de la mort sur l'esprit de l'homme. Jésus lui-même n'a-t-il pas frémi dans son esprit en présence de ce redoutable ennemi, salaire du péché! Cependant si la mort est entrée dans cette maison, ce n'est pas pour son mal, mais pour son bien. Élie en prend conscience; il s'identifie avec l'enfant, dans son impuissance en face de la mort, mais il ouvre ainsi la voie à la toute-puissance de Dieu. Le prophète reprend sa prière; mais quelle prière! Jamais homme, sans doute, n'a présenté une requête aussi grande, dans un langage d'une telle simplicité et d'une telle brièveté. Élie n'avait jamais eu l'exemple d'un mort rendu à la vie auparavant; c'est pourtant ce qu'il a demandé, et Dieu a répondu. Nous n'aurons jamais à prier pour obtenir un tel miracle, mais sachons que la même puissance divine est à notre disposition, dans les épreuves les plus extrêmes. Les réponses de notre Père céleste seront toujours à la hauteur de notre foi et de notre confiance en lui. La troisième prière d'Élie 1 Rois 1836, 37 Élie retourne maintenant en Israël. Il domine la scène dans ce chapitre et conduit toutes choses pour la gloire de Dieu. Le peuple est rassemblé à la montagne de Carmel pour être témoin de cette gloire; les prophètes de Baal sont tous là aussi, pour que leur impuissance soit démontrée et leur destruction assurée. Élie répare l'autel de l'Éternel et le réédifie avec les douze pierres qui symbolisent l'unité du peuple de Dieu, malgré les apparences. Puis il prie en invoquant le Dieu des patriarches qui demeure le Dieu d'Israël, fidèle à ses promesses. Il faut que le cœur du peuple revienne à ce seul Dieu. Lui n'abandonne pas cette nation coupable et passible du feu de son jugement. Cependant le feu ne tombera pas sur elle, mais sur l'holocauste, selon la prière du prophète. Belle image de Celui qui viendra un jour se placer en sacrifice sous le jugement divin à la place d'Israël! Dieu veut aussi aujourd'hui ramener nos cœurs à lui. Soyons des intercesseurs, comme Élie; peut-être sera-t-il en peine de notre misère et nous répondra-t-il, en vertu du sacrifice placé un jour pour nous sous le feu de son jugement. La quatrième prière d'Élie 1 Rois 1842; Jacques 518 Sur la montagne, Élie a prié l'Éternel devant tout son peuple; le feu est descendu du ciel et les assistants sont tombés sur leurs faces. Après l'exécution du jugement sur les prophètes idolâtres, Élie remonte en ce même lieu. Là , seul à seul avec son Dieu, il va se courber en terre devant lui et mettre sa face entre ses genoux. Méditons sur ces attitudes du prophète. Quelle noblesse dans son maintien et dans son invocation en face de la foule! Quelle humilité profonde dans son attitude maintenant, dans la conscience de sa petitesse en face de la grandeur du Dieu des cieux! Prenons exemple sur cet éminent serviteur de Dieu. Il sait que Dieu va répondre verset 1; il le prédit au roi Achab verset 41, mais sa supplication n'en est pas moins ardente et persévérante. Il sait que Dieu compte sur la patience de sa foi avant de répondre. Son jeune homme a le temps de monter sept fois au sommet de la colline et de constater que le ciel reste bleu; cependant Élie continue à prier, prosterné en terre. Il reçoit enfin le signe derrière ce nuage qui monte, petit comme la main d'un homme, sa foi discerne la main de Dieu. Il sait qu'il est exaucé. Comme Élie, reconnaissons que devant Dieu nous ne sommes que poussière et cendre»; mais ne doutons pas de son écoute. Il peut nous faire attendre à sa porte le temps qu'il juge nécessaire, mais il répond toujours. Ainsi, Élie nous a appris cette grande leçon la dépendance de Dieu marquée par la prière est la véritable source de la puissance. Élie a demandé à Dieu quatre choses impossibles que le ciel se ferme, puis que le ciel s'ouvre à la demande d'un homme; qu'un mort revienne à la vie; et que le feu descende du ciel! Telle est la grandeur de la foi, non pas seulement celle d'un homme de Dieu exceptionnel, mais celle d'un homme ayant les mêmes passions que nous», la même nature et les mêmes faiblesses. Dieu n'est pas limité dans sa puissance en notre faveur. S'il a accompli ces miracles en réponse à cet homme fidèle, il peut le faire encore. C'est une question de foi, et de fidélité.
Après avoir vu l’énigme des trois dieux, celle-ci va vous paraître simple ! Et si vous ne connaissez pas l’énigme des 3 dieux, commencez par celle-ci ! Sommaire de l'articleÉnoncéSolutionDécryptonsVariantes de l’énigmePartager sur Énoncé Vous vous trouvez devant deux gardiens de porte l’un dit la vérité, l’autre ment toujours. Vous devez choisir une des deux portes l’une mène vers la liberté, l’autre mène vers la prison. Vous n’avez droit de poser qu’une seule question unique à un des gardiens. Ensuite, vous devez choisir ! Solution Une seule question possible pour démêler le vrai du faux et savoir à coup sûr quelle porte offre la liberté. Pour parvenir à déterminer lequel des gardiens dit vrai ou dit des mensonges, il convient de poser une question à un gardien en impliquant l’autre. C’est le principe de l’encapsulation si je demande à l’autre gardien si cette porte offre la liberté, que me dira-t-il ? » Dans ce principe, vous impliquez dans votre question l’autre gardien et donc pouvez déduire si la réponse donnée est donnée par celui qui ment ou celui qui dit la vérité ! Décryptons Si je demande à l’autre gardien si cette porte offre la liberté, que me dira-t-il ? Soit la réponse est il vous dira que cette porte offre la liberté. Il faut choisir l’autre ! Pourquoi ? Parce que si il s’agit du gardien qui dit vrai, il indique que son collègue gardien vous induira en erreur; si il s’agit du gardien qui ment, il sait pertinemment que l’autre gardien garde la porte de la prison et donc vous répondra la liberté pour vous induire en erreur ! Soit la réponse est il vous dira que cette porte est la prison. Il faut donc choisir cette porte ! Pourquoi ? Parce que si il s’agit du gardien qui dit vrai, il indique que le gardien menteur tentera de vous induire en erreur en vous répondant prison alors qu’il sait que le gardien à qui vous posez la question garde la porte de la liberté; si il s’agit du gardien qui ment à qui vous posez la question, il répondra la prison dans tous les cas puisqu’il ne peut pas répondre que son collègue garde la porte de la liberté. Pour faire simple si la réponse est liberté, il faut choisir l’autre porte; si la réponse est prison, il faut prendre cette porte ! La solution de cette énigme repose sur la double négation moins par moins donne plus ! Il ne s’agit évidemment pas de la seule question que vous pouvez poser à ces gardiens, la question si je demandais à l’autre gardien si il dit la vérité, que me dirait-il ? » est aussi valable, au même titre que si je demandais à l’autre gardien si la pomme est un fruit, que me répondrait-il ? » La question en soi n’a pas d’importance c’est sa structure qui compte ! Variantes de l’énigme Cette énigme est déclinée à l’envi avec un énoncé qui peut varier, le mécanisme pour parvenir à la solution est toujours le même, il faut impliquer l’autre gardien. Cette énigme est aussi connue sous les noms suivants si vous en connaissez d’autres, n’hésitez pas à les indiquer dans les commentaires ! L’énigme du prisonnier L’énigme de la porte du paradis et de la porte des enfers L’énigme du gardien qui dit la vérité et du gardien qui ment À propos Articles récents Historien, professeur, passionné par les sciences humaines, la recherche, la pédagogie, les échanges culturels et les ailleurs.
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