Joursde chasse. 9,50 € T R I M E S T R I E L. ARGENTINE. Avec les gauchos de la Sierra Liéà Gustave Flaubert et Ă  Émile Zola, il a marquĂ© la littĂ©rature française par ses six romans, dont Une Vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, mais surtout par ses nouvelles (plus de 300), parfois intitulĂ©es contes, comme Boule de Suif en 1880, Les Contes de la bĂ©casse en 1883 ou Le Horla en 1887. Ces Ɠuvres retiennent l’attention par leur force LesSciences de la Vie et de la Terre au collĂšge et au lycĂ©e. DĂ©couverte, actualitĂ©, cours, aide et soutien en ligne. Les Sciences de la Vie et de la Terre au collĂšge et au lycĂ©e. DĂ©couverte, actualitĂ©, cours, aide et soutien en ligne. CE2; CM1; CM2; 6eme. Notre environnement; Peuplement du milieu; DiversitĂ© biologique; Origine de la matiĂšre; Production alimentaire; Chaqueautomne, un vieux chasseur rĂ©galait ses amis de bĂ©casses. Les tĂȘtes de ces dĂ©licieux oiseaux Ă©taient donnĂ©s Ă  un seul convive dĂ©signĂ© par le sort. Et ce dernier, pour dĂ©dommager les autres, devait raconter une histoire. Les seize nouvelles de ce recueil se situent presque toutes en Normandie oĂč Maupassant vĂ©cut une jeunesse heureuse. Ses paysans chasseurs, ses LeRosier de Madame Husson Contes de la bĂ©casse Pierre et Jean Sur l’eau Les dimanches d’un bourgeois de Paris La maison Tellier La Petite Roque Miss Harriet Yvette Bel-Ami Mont-Oriol Notre cƓur Fort comme la mort 3 . Contes du jour et de la nuit Édition de rĂ©fĂ©rence : Paris, C. Marpon et E. Flammarion, Éditeurs. 4 . Le crime au pĂšre Boniface Ce jour-lĂ  le facteur Boniface, LacarriĂšre littĂ©raire de Guy de Maupassant est limitĂ© Ă  une dĂ©cennie – de 1880 Ă  1890 – avant qu’il ne sombre lentement dans la folie et meurt Ă  quarante-deux ans. Reconnu de son vivant, Guy de Maupassant conserve une rĂ©putation de leader Ă  nouveau renouvelĂ© par les nombreuses adaptations filmĂ©es de ses Ɠuvres. hWNu085. DĂ©cryptez les Contes de la BĂ©casse de Guy de Maupassant avec l'analyse du !Que faut-il retenir des Contes de la BĂ©casse, le recueil de nouvelles phare du courant rĂ©aliste ? Retrouvez tout ce que vous devez savoir sur cette Ɠuvre dans une fiche de lecture complĂšte et trouverez notamment dans cette fiche Un rĂ©sumĂ© complet des seize contes Une prĂ©sentation des personnages-clĂ©s de chacun des seize contes Une analyse des spĂ©cificitĂ©s de l'Ɠuvre des nouvelles et le rĂ©alismeUne analyse de rĂ©fĂ©rence pour comprendre rapidement le sens de l' MOT DE L'ÉDITEUR Dans cette nouvelle Ă©dition de notre analyse des Contes de la BĂ©casse 2014, avec Dominique Coutant, nous fournissons des pistes pour dĂ©coder ce recueil de nouvelles hautes en couleur. Notre analyse permet de faire rapidement le tour de l'Ɠuvre et d'aller au-delĂ  des clichĂ©s. » StĂ©phanie FELTENÀ propos de la collection PlĂ©biscitĂ© tant par les passionnĂ©s de littĂ©rature que par les lycĂ©ens, est considĂ©rĂ© comme une rĂ©fĂ©rence en matiĂšre d'analyse d'Ɠuvres classiques et contemporaines. Nos analyses, disponibles au format papier et numĂ©rique, ont Ă©tĂ© conçues pour guider les lecteurs Ă  travers la littĂ©rature. Nos auteurs combinent thĂ©ories, citations, anecdotes et commentaires pour vous faire dĂ©couvrir et redĂ©couvrir les plus grandes Ɠuvres littĂ©raires. est reconnu d'intĂ©rĂȘt pĂ©dagogique par le ministĂšre de l'Éducation. Plus d'informations sur ï»ż403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID DeUXlJwG-A3AeZ39WtWMpQpkLKkZRqgBAUwHJVkR0y54IoIzM9MqA== 25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 1500 Titre Contes de la BĂ©casse Auteur Guy de Maupassant Édition Gallimard 1974 Livre de poche Genre nouvelles ThĂšme principal Regroupement de personnes pour raconter des histoires 16 nouvelles parmi lesquelles La Rempailleuse », Aux Champs », 
 RĂ©sumĂ© c'est l'histoire d'un vieux baron des Ravots qui est paralysĂ© qui ne pouvait plus chasser, il ne pouvait que tirer des pigeons de la fenĂȘtre de son salon ou du haut de son grand perron et le reste du temps il lisait. Au moment des chasses Ă  l'automne il invitait tous les chasseurs d'Ă  cĂŽtĂ© au conte de la bĂ©casse », rituel oĂč chaque convive mange une bĂ©casse, puis donne au baron la tĂȘte de la bĂ©casse, celui-ci la met sur le goulot d'une bouteille et la fait tourner jusqu'Ă  ce que le bec dĂ©signe le gagnant qui aura le plaisir de manger les tĂȘtes et de raconter une histoire. Passage s remarquables P 116 "Aux Champs" "Vous voulez que j'vous vendions Charlot? Ah! mais non; c'est pas des choses qu'on d'mande Ă  une mĂšre ça! Ah! Mais non ! Ce serait abomination. [
] La paysanne, exaspĂ©rĂ©e, lui coupa la parole C'est tout vu, c’est tout entendu, c’est tout rĂ©flĂ©chi.....Aller- vous- en, et pi, que j'vous revoie point par ici. C'est ti permis d'vouloir prendre un Ă©fant comme ça! » Commentaires sur ces passagess Quand j'ai lu ces passage haute voix et avec le ton j'ai rigolĂ© surtout sur le langage des paysans , ces passage lĂ  sont trĂšs amusants . Critique personnelle Ce livre-lĂ  m’a vraiment plu surtout le conte Aux champs », pour moi je lui mettrais un 8/10. Je le recommande. Titouan, 4C, novembre 2012 Auteur Maupassant. Titre Contes de la bĂ©casse, La bĂ©casse ». Edition Albin Michel. Date 1984. Collection Le livre de poche. Genre Recueil de contes, nouvelles. ThĂšme principal Le thĂšme principal est un chasseur qui a chassĂ© pendant de longues annĂ©es devient paralysĂ© des deux jambes et ne peut plus exercer son activitĂ©. Ce chasseur est un baron. Il aime aussi inviter quelques-uns de ses amis chasseurs pour manger de la bĂ©casse et pour se raconter des histoires de chasse. Le sujet C’est l’histoire d’un vieux baron qui pendant quarante ans avait Ă©tĂ© le roi des chasseurs de sa province mais depuis cinq ou six annĂ©es, il Ă©tait paralysĂ© des deux jambes, il ne pouvait tirer que les pigeons ou d’autres oiseaux de sa fenĂȘtre. Il avait un valet qui lui tenait et rechargeait ses armes, un autre valet Ă©tait cachĂ© derriĂšre les arbres et lĂąchait de temps en temps des pigeons. MĂȘme si le vieux baron ne pouvait plus chasser, il invitait des amis chasseurs pour qu’ils lui racontent leurs exploits de la journĂ©e. Les soirs de ces rĂ©unions, au dĂźner, ils mangeaient toujours de la bĂ©casse, ils gardaient les tĂȘte pour en faire des chandeliers. Ils dĂ©signaient un invitĂ© qui devait croquer le crĂąne. Puis une fois leur repas terminĂ© ils devaient conter une histoire comme Le cochon de Morin », La folle », Pierrot », Menuet », La peur », Farce normande », Les sabots », La rempailleuse », En mer », Un normand », Le testament », Aux champs », Un coq chanta », Un fils », Saint-Antoine » , L’aventure de Walter Schnaffs ». Choix d’un passage remarquable d’une dizaine de lignes Mais il existait dans la maison une vieille coutume, appelĂ©e le conte de la bĂ©casse ».Au moment du passage de cette reine des gibiers, la mĂȘme cĂ©rĂ©monie recommençait Ă  chaque dĂźner. Comme il adorait L’incomparable oiseau, on en mangeait tous les soirs, un par convive ; mais on avait soin de laisser dans un plat toutes les tĂȘtes. Alors le baron, officiant comme un Ă©vĂȘque, se faisait apporter sur une assiette un peu de graisse, oignait avec soin les tĂȘtes prĂ©cieuses en les tenant par le bout de la mince aiguille qui leur sert de bec. Une chandelle allumĂ©e Ă©tait posĂ©e prĂšs de lui, et tout le monde se taisait, dans l’anxiĂ©tĂ© de l’attente. » J’ai choisi ce passage car je trouve qu’il a de l’importance dans le texte, il nous montre pourquoi on a appelĂ© la nouvelle la bĂ©casse ». Donc le titre va bien au livre. Jugement critique personnel J’ai aimĂ© cette nouvelle car elle n’est pas trĂšs longue Ă  lire, son titre va bien avec son texte, elle est facilement lisible. Je conseille ce livre Ă  tous les lecteurs qui aiment lire peu. Emma D, 4 A, fĂ©vrier 2013 Titre Contes de la bĂ©casse Auteur Guy De Maupassant Edition Le livre de poche. Nouvelle prĂ©sentĂ©e La folle. RĂ©sumĂ©. La folle C’est une vielle femme, une espĂšce de folle qui s’est Ă©garĂ©e sous le coup du malheur car elle a perdu en un seul mois son pĂšre, son mari et son fils. Il y avait une bonne qui restait Ă  cĂŽtĂ© d’elle pour la faire boire et manger, elle ne voulait que rester coucher dans son lit. Pendant quinze annĂ©es ce fut comme ça jusqu’à ce que la guerre vint. Un officier s’intĂ©ressa Ă  sa maladie il voulut lui parler et, voyant qu’elle ne lui rĂ©pondait pas et qu’elle ne voulait pas sortir, il se vexa et il la fit porter avec son lit au milieu des bois oĂč elle mourut de froid et de faim. Mon passage remarquable est le passage de la page 31 Quand la mort est entrĂ©e une fois dans une maison, elle y revient presque toujours immĂ©diatement, comme si elle connaissait la porte. » Jugement critique personnel C’est une triste histoire. Mais je l’ai bien aimĂ©e. Laetitia, 4A, mars 2013 Nom de l'auteur De Maupassant PrĂ©nom de l'auteur Guy Titre du recueil Contes de la BĂ©casse Édition Albin Michel Collection Le livre de poche Titres des nouvelles qui contient ce recueil La BĂ©casse, Ce cochon de Morin, La folle, Pierrot, Menuet, La peur, Farce normande , Les sabots, La rempailleuse, En mer, Un normand, Le testament, Aux champs, Un coq chanta, St-Antoine, L'aventure de Walter Schnaffs, 17 nouvelles. AbĂ©cĂ©daire des mots clĂ©s de ce recueil avec citation +N° de la page de ces citations A abomination Vous voulez que j'vous vendions Charlot ? Ah ! Mais non; c'est pas des choses qu'on d'mande Ă  une mĂšre çà ! Ah mais non ! Ce serait une abomination.» Aux champs B Bonne femme la bonne femme pleurait dans son assiette » Aux champs C Cochon Pourquoi diable, n'ai-je jamais entendu parler de Morin sans qu'on le traitĂąt de cochon» » Le cochon de Morin D Dame Madame LefĂšvre Ă©tait une dame de campagne, une veuve, une de ces demi-paysannes » Pierrot E Épouvantable peur Alors, pendant une heure, le chien hurla sans bouger, il hurla comme dans l'angoisse d'un rĂȘve; et la peur, l’épouvantable peur entrait en moi.» La peur F Fille La premiĂšre des deux demeures, en venant de la station d'eau de Rolleport3, Ă©tait occupĂ©e par les Tuvache qui avaient trois filles et un garçon; et l'autre masure abritait les Vallin, qui avaient trois garçons et une fille.» Aux champs G Garçon La premiĂšre des deux demeures, en venant de la station d'eau de Rolleport3, Ă©tait occupĂ©e par les Tuvache qui avaient trois filles et un garçon; et l'autre masure abritait les Vallin, qui avaient trois garçons et une fille.» Aux champs H Homme La plus violente douleur qu'on puisse Ă©prouver, certes, est la perte d'un enfant pour une mĂšre, et la perte d'une mĂšre pour un homme.» Menuet I InquiĂšter En voilĂ  un qui les exĂ©cute facilement et qui les lĂąche sans remords, et qui ne s'en inquĂšte guĂšre.» Un fils J Jeune femme La jeune femme reprit - Il faut que je les embrasse ! Oh ! Comme je voudrais en avoir un, celui-lĂ , le tout petit.» Aux champs K ? L La peur Mais la peur, ce n'est pas cela. Je l'ai pressentie en Afrique. » M MĂšre Vous voulez que j'vous vendions Charlot ? Ah ! Mais non ; c'est pas des choses qu'on d'mande Ă  une mĂšre, ça ! » Aux champs N Not' maĂźtre Me... not' maĂźtre... Il hurlait J'aime pas manger tout seule, nom de D...» Les sabots O Oncle L'oncle, M. Tonnelet, Ă©tait justement un abonnĂ© du Fanal, un fervent coreligionnaire politique qui nous reçut Ă  bras ouverts » Ce cochon de Morin P PĂšre Tuvache Alors pĂšre Tuvache articula d'un ton colĂ©reux Vas-tu pas nous r'procher d' t’avoir gardĂ© ? » Aux champs Q? R Rolleport La premiĂšre des deux demeures, en venant de la station d'eau de Rolleport3, Ă©tait occupĂ©e par les Tuvache qui avaient trois filles et un garçon; et l'autre masure abritait les Vallin, qui avaient trois garçons et une fille.» Aux champs S Saint-Antoine Lorsque arriva l'invasion prussien, Saint-Antoine, au cabaret, promettait de manger une armĂ©e » Saint-Antoine T Tuvache Les Tuvache, sur leur porte, le regardaient partir, muets, sĂ©vĂšres, regrettant peut-ĂȘtre leur refus. » Aux champs U? V Vieille mĂšre La vieille mĂšre lavait ses tabliers; le pĂšre infirme , sommeillait prĂšs de l'Ăątre » Aux champs W Walter Schnaffs Walter Schnaffs se jugeait le plus malheureux des Hommes. » Les aventures de Walter Schnaffs X? Y? Z? Point de vue sur le livre J'ai bien aimĂ© ce livre, car les histoires se passent en Normandie, ma rĂ©gion prĂ©fĂ©rĂ©e et les nouvelles sont intĂ©ressantes et drĂŽles. Baptiste W, 4B 15/10/2014 Titre du recueil Les Contes de la BĂ©casse Edition Albin Michel Collection Le livre de poche Titre des Nouvelles que contient ce recueil La BĂ©casse, Ce cochon de Morin, La Folle, Pierrot, Menuet, La peur, Farce Normande, Les Sabots, La Rempailleuse, En Mer, Un Normand, Le Testament, Aux Champs, Un coq chanta, Un fils, Saint Antoine, L’aventure de Walter Schnaffs AbĂ©cĂ©daire A – Automne A l’automne, au moment des chasses, il invitait, comme Ă  l’ancien temps, ses amis, et il aimait entendre au loin les dĂ©tonations ». Page 8, La BĂ©casse. B – BĂ©casse Mais il existait dans la maison une vieille coutume, appelĂ©e le conte de la bĂ©casse » Page 9, La BĂ©casse. C – Cochon Ca, mon ami, dis je Ă  Labarbe, tu viens encore de prononcer ces quatre mots-ce cochon de Morin ». Page 15, Ce cochon de Morin. D – DĂ©vorait Morin la dĂ©vorait des yeux ». Page 17, Ce cochon de Morin. E – Enfant Jadis, Ă  l’ñge de vingt cinq ans, elle avait perdu, en un seul mois, son pĂšre, son mari, et son enfant nouveau-nĂ© ». Page 39, La Folle. F – Folle On ne revit plus la folle ». Page 43, La Folle. G – Gendarme Le Gendarme prĂ©sent arrĂȘta Morin ». Page 20, Ce cochon de Morin. H – Hautain Alors elle, qui n’avait point dormi, regardant cet homme dĂ©peignĂ©, aux yeux rouges, Ă  la lĂšvre Ă©paisse, rĂ©pondit, du ton hautain dont elle parlait Ă  son mari ». Page 195, Un coq Chanta. I – Instruction Et il savait interroger Ă  la façon du juge d’Instruction ». Page 7, La BĂ©casse. J – Jadis Oui, Monsieur, c’est un vrai temps de jadis ». Page 68, Conte de La BĂ©casse. K – ? L – Livide Nous restions immobiles, livides, dans l’attente d’un Ă©vĂ©nement affreux, l’oreille tendue, le cƓur battant, bouleversĂ©s au moindre bruit ». Page 85, La Peur. M – Marmaille Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir ». Page 174, Aux Champs. N – Noblesse C’étaient sans cesse des fĂȘtes, des chasses, des plaisirs nouveaux auxquels il invitait la noblesse des chĂąteaux environnants. » Page 188, Contes de la BĂ©casse. O –.Orateur Toutes les cinq minutes un nouvel orateur prononçait J’entends Birr !Birr ! » et une compagnie magnifique me part Ă  dix pas. ». Page 9, La BĂ©casse. P – Prussiens Dans les premiers jours de dĂ©cembre, les prussiens pĂ©nĂ©trĂšrent Ă  Cormeil ». Page 40, La Folle. Q – Quai Tu as connu Morin, n’est ce pas, et tu te rappelles son grand magasin de mercerie sur le quai de la Rochelle ? ». Page 15, Ce Cochon de Morin. R – Rempailleuse Son pĂšre Ă©tait rempailleur et sa mĂšre rempailleuse ». Page120, La Rempailleuse. S – Soldat Deux heures plus tard les soldats revinrent tout seuls ». Page 43, La Folle. T – Tuvache La premiĂšre des deux demeures, en venant de la station d’eau de Rolleport, Ă©tait occupĂ©e par les Tuvache, qui avaient trois filles et un garçon ; l’autre masure abritait les Vallin, qui avait une fille et trois garçons ». Page 174, Aux Champs. U – ? V – Voisin Non, c’est aux voisins ; vous pouvez y allez si vous voulez. » Page 178, Aux Champs. W – WALTER Walters Schnaffs se jugeait le plus malheureux des hommes ». Page 239, L’Aventure de Walter Schnaffs. X –Y –Z – ? Anne B. 4B 16/10/2014 Nom puis prĂ©nom de l’auteur Guy de Maupassant. Titre du recueil Contes de la bĂ©casse. Collection Classique Français Édition Maxi Poche. Titres des nouvelles que contient ce recueil La BĂ©casse , Ce cochon de Morin , La Folle , Pierrot , Menuet , La Peur , Farce normande , Les Sabots , La Rempailleuse , En mer , Un Normand , Le Testament , Aux Champs , Un coq chanta , Un Fils , Saint-Antoine , L'aventure de Walter Schnaffs. AbĂ©cĂ©daire des mots clĂ©s de ce recueil A. Adorait il adorait les contes, les petits contes polissons, et aussi les histoires vraies arrivĂ©es dans son entourage .page11, La BĂ©casse Une belle jeune fille vint nous ouvrir. Page 20, Ce cochon de Morin C. Cormeil Vous connaissez ma propriĂ©tĂ© dans le faubourg de Cormeil. Page31, La Folle on volait dans le pays, puis on pouvait revenir. page37, Pierrot E. elle Elle est trĂšs vieille, mais vive comme d'hier. page46, Menuet F. fichtre fichtre ! Je vous rĂ©ponds bien que j'ai eu peur, moi. » page52,La peur G. gars Le mariĂ© Ă©tait beau gars, Jean Patu, le plus riche fermier du pays. Page59, Face Normande H. honnĂȘte -M. CĂ©saire Omont voudrait bien trouver une jeune fille honnĂȘte comme servante. » page 66, Les sabots en est des amoureux comme des ivrognes. page74,La rempailleuse J. Javel Javel aĂźnĂ© Ă©tait alors patron d'un chalutier. page83, En mer n'y a pas de mots commençant par k dans le conte Un Normand L. liĂ©s Cet homme me plaisant tout Ă  fait, nous fĂ»mes bientĂŽt liĂ©s. Page 99, Le testament M. marmaille Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir. page105, Aux champs Ne m'avez- vous point donnĂ© l'ordre d'abattre moi-mĂȘme l'animal ? »page115, Un coq chanta O. on Dans tout mĂ©tier on fait la part des profits et pertes. Page121, Un fils P. pĂ©nĂ©trer Le Normand malin le pĂ©nĂ©tra tout de suite, et, rassurĂ©, lui fit signe de s'asseoir. Page 134 , Saint-Antoine donc les nourrirait et les Ă©lĂšverait ? page146, L'aventure de Walter Schnaffs. R. rĂ©cits Voici quelques-uns de ces rĂ©cits page13,La bĂ©casse S. suffirait Il me suffirait peut-ĂȘtre d'ĂȘtre audacieux. page16, Ce cochon de Morin T. tenez Tenez, dit M. Mathieu d'Endolin, les bĂ©casses me rappellent une bien sinistre anecdote de la guerre. n'y a pas de mots commençant par u dans le conte de Pierrot V. venir Je venais lĂ  presque tous les matins. Page 47,Menuet W. wagon Quand elle eut fait ses adieux Ă  la vieille, elle entra dans la salle d'attente, et Morin la suivit; puis elle passa sur le quai, et Morin la suivit encore; puis elle monta dans un wagon vide, et Morin la suivit toujours. page16, Ce cochon de Morin n'y a pas de mots commençant par x dans le conte de Farce Normande n'y a pas de mots commençant par Y dans le conte de Les sabots n'y a pas de mots commençant par Z dans le conte de La rempailleuse mon avis j'ai trouvĂ© qu'il y a beaucoup d'amour dans chaque conte de ce livre et de la tristesse. J'ai bien aimĂ© ce livre. Flora R 4B le 16 octobre 2014 DĂ©finition de la statistique La statistique descriptive a pour objet l’étude, Ă  l’aide de traitements mathĂ©matiques, de nombreux faits correspondant Ă  l’observation d’un phĂ©nomĂšne, dans le but de rendre compte de la rĂ©alitĂ©, d’essayer de l’expliquer et d’aider Ă  la prise de dĂ©cision . Ne pas confondre La statistique » et Les statistiques» La statistique Cf. dĂ©finition Les statistiques donnĂ©es chiffrĂ©es ou les rĂ©sultats numĂ©riques de la statistique. [embeddoc url=” viewer=”google”] TĂ©lĂ©charger rĂ©sumĂ© de Statistiques descriptive s1 pdf Avez-vous trouvĂ© cette article utile ? CONTES DU CHAT PERCHÉ est un recueil de contes de Marcel AymĂ© 1902-1967, publiĂ© Ă  Paris chez Gallimard en 1939. RĂ©sumĂ© Delphine et Marinette vivent Ă  la campagne, dans une ferme oĂč les animaux parlent. Bien d’autres merveilles se produisent encore en se passant la patte sous l’oreille, le chat fait pleuvoir au grand dam des parents cultivateurs! Par suggestion, les animaux prennent la forme des dessins des petites, une poule se transforme en Ă©lĂ©phant et les fillettes se mĂ©tamorphosent, au grĂ© de leurs rĂȘves, en cheval et en Ăąne. Les animaux comptent tous les arbres de la commune pour rĂ©soudre un problĂšme de calcul. Lorsque les petites tentent d’instruire le bƓuf, il ne lui reste plus qu’à se produire dans un cirque. Le merveilleux a cependant des limites un cochon ne peut devenir aussi beau qu’un paon, ni un loup s’amender totalement, ni non plus les volailles Ă©chapper Ă  la marmite. Si certaines bĂȘtes se trouvent affectĂ©es de dĂ©fauts tout humains, d’autres mĂ©ritent l’aide des petites filles, comme le cochon sauvĂ© du saloir grĂące aux ailes qui lui ont permis de s’envoler. Analyse des Contes du chat perchĂ© Marcel AymĂ© exploite ici les genres du conte merveilleux rĂ©aliste et de la fable. Il plante, en effet, le dĂ©cor de ses rĂ©cits Ă  la campagne et il Ă©voque les aventures de deux fillettes souvent dĂ©sobĂ©issantes mais toujours charitables. Selon les rĂšgles du merveilleux, les bĂȘtes parlent et nul ne songe Ă  leur contester cette facultĂ©. DĂšs lors, la frontiĂšre se fait fragile entre le monde animal et celui des hommes suivant les procĂ©dĂ©s de la fable, tantĂŽt les bĂȘtes expriment une sagesse supĂ©rieure, tantĂŽt elles incarnent un dĂ©faut propre Ă  l’espĂšce humaine. Le monde des adultes est reprĂ©sentĂ© par les parents, individus rĂ©alistes et Ăąpres au gain. ÉvoquĂ©s sous le regard des petites, ils se trouvent souvent assimilĂ©s Ă  des ogres en effet, la ferme s’impose comme une micro-sociĂ©tĂ© dont le destin s’achemine vers sa fin, la table des maĂźtres. Comme dans la fable, chaque texte recĂšle une morale qui dĂ©nonce des relations de pouvoir illĂ©gitimes, mais donnĂ©es comme irrĂ©versibles. Ainsi, le chien devient aveugle Ă  la place de son maĂźtre qui l’abandonne aussitĂŽt; recouvrant la vue, il retourne vers son maĂźtre de nouveau atteint par la cĂ©citĂ© le Chien». Les Contes du chat perchĂ© ne prĂ©sentent pourtant guĂšre d’analogies avec l’allĂ©gorie dĂ©veloppĂ©e par Orwell dans la Ferme des animaux. Les textes de Marcel AymĂ© ne reposent pas sur une critique subversive de la sociĂ©tĂ© ni ne tĂ©moignent de la rĂ©surgence des fantasmes Ă  l’Ɠuvre dans les contes de fĂ©es. Toujours Ă©noncĂ©e au dĂ©triment des parents, la morale des textes engage plutĂŽt Ă  se dĂ©faire de ses prĂ©jugĂ©s. RĂ©digĂ©s dans un style limpide, ces rĂ©cits mettent en place un univers enfantin, dominĂ© par l’animisme et par la constante plasticitĂ© des ĂȘtres. Le principe de la mĂ©tamorphose repose sur la disparition de toute opposition entre la rĂ©alitĂ© et sa reprĂ©sentation en regardant un Ă©lĂ©phant sur un album, la poule se transforme en pachyderme! Ainsi franchit-on la limite entre l’imaginaire et le rĂ©el. V. ANGLARD

contes de la bécasse résumé de chaque chapitre