Dated'inscription : 09/10/2021: Sujet: 68e régiment d'artillerie d'Afrique Aujourd'hui à 08:57: Le 68e régiment d’artillerie d’Afrique a été créé en 1941 à Tlemcen, en Algérie. Il est l’unique régiment dépositaire des traditions de l’artillerie d’Afrique. C’est le régiment d’appui polyvalent de la 7e brigade blindée de Besançon, appartenant à la 1ère division Cetteformation GP-N4 saison 2021-2022 de la CTD01 a rassemblé autour de 10 stagiaires, les moniteurs des différents clubs pour les cours théoriques qui se sont déroulés des samedis matin, et pour les weekends de formation en mer. Elle s’est soldée par l’examen écrit le samedi 21 mai, et ce weekend de l’ascension à Niolon pour les épreuves pratiques et orales. Durant 3 jours Dèsl'origine, RCF porte l'ambition de diffuser un message d'espérance et de proposer au plus grand nombre une lecture chrétienne de la société et de l'actualité.Forte de 600.000 auditeurs chaque jour, RCF compte désormais 64 radios locales et 270 fréquences en France et en Belgique. Ces 64 radios associatives reconnues d'intérêt général vivent Lessamedi 17 et dimanche 18 mai 2014, le régiment médical organise ses Journées portes ouvertes sur le camp militaire de La Valbonne. L’inauguration officielle, présidée par le Médecin-chef Henri-Pierre BOUTIN, chef de corps du régiment médical, se déroulera le samedi 17 mai à 10h00 en présence de nombreuses autorités civiles et militaires. 1914-2014 : [] Rakuten Achetez et Vendez au meilleur prix. Découvrez l'Achat-Vente Garanti ! Situéà une trentaine de kilomètres à l'Est de Lyon, il s'étend sur 6 km de long et 2,5 km de large. Sa superficie est de 1600 ha et compte plus de 5000 () DzxWB. IgesaIgesa Qui sommes-nous ? AFNOR & Igesa Pourquoi choisir Igesa ? Nos prestations Démarche de responsabilité Marchés publics Conventions et partenaires Actualités Igesa MON ESPACEMON ESPACE Modifier mes informations personnelles Mes pièces justificatives S'identifier / s'inscrire Consulter vos dossiers vacances INFOS LÉGALESINFOS LÉGALES Données personnelles Conditions Générales de vente Mentions légales Gestion des cookies S’il a quitté la Nouvelle-Calédonie pour s’engager et défendre les populations, jamais le sergent Yacinthe n’aurait imaginé combattre un virus sur le territoire national. Volontaire à l’hôpital militaire de campagne de Mulhouse, il lutte contre le coronavirus. Emmanuel Macron l’a dit Nous sommes en guerre ». En guerre contre le coronavirus. Et le sergent Yacinthe, militaire calédonien affecté au régiment médical RMed, stationné au camp de La Valbonne, est entré dans la bataille. Voilà six semaines qu’il s’est porté volontaire pour être déployé sur l’Équipement Militaire de Réanimation EMR l’hôpital militaire de campagne ndlr de Mulhouse. Une décision qui s’explique par l’état d’esprit dans lequel il a toujours été depuis qu’il s’est engagé. Au centre de recrutement en Nouvelle-Calédonie, je me suis présenté en disant que je voulais sauver des gens. » Entré dans l’armée le 9 août 2001, il est orienté vers le troisième régiment médical. Grâce à ses presque deux décennies de service, le Calédonien d’origine wallisienne a pu multiplier les fonctions et les missions. En Côte d’Ivoire, en Afghanistan, en Angleterre mais aussi en Outre-mer. Des compétences et de l’expérience qu’il met à profit à l’EMR depuis le 18 mars. Là-bas, le sergent Yacinthe a une triple casquette, il est responsable et gestionnaire du flux de matériel, il a la responsabilité des véhicules et des déplacements du personnel de l’hôpital et enfin il est adjoint au major de camp. Toute la journée, il jongle entre la rotation des navettes pour aller récupérer le personnel, la gestion et le contrôle des livraisons et il centralise les besoins de l’EMR auprès du major de camp. Trois missions exigeantes que le militaire de 40 ans gère en toute sérénité. Je ne suis pas seul, nous travaillons en équipe et sommes bien synchronisés. » A l'EMR de Mulhouse, le sergent Yacinthe a une triple casquette, il est responsable et gestionnaire du flux de matériel, il a la responsabilité des véhicules et des déplacements du personnel de l’hôpital et enfin il est adjoint au major de camp • ©© Ministère des Armées / État-major des armée Qu’en est-il de la pression, lui qui travaille dans une région le Haut-Rhin ndlr parmi les plus touchées par le coronavirus et qui a vu le nombre de décès explosés en mars ? Ce n’est pas la première fois que je vais en mission où il y a de la pression. Mais il ne faut pas y céder. » En première ligne pour lutter contre le coronavirus, le sergent Yacinthe partage les sentiments qu’éprouvent bon nombre de soignants. Ça fait peur à tout le monde. Il y a toujours une petite crainte », avoue-t-il non sans éprouver une certaine fierté à accomplir sa mission. Quand on est déployé en opération extérieur, on est fier de venir en aide aux populations, on sait pourquoi on s’est engagé. Mais là, on est encore plus fier car on aide les Français. C’est rare ce genre de missions. » Au plus fort de la crise, une trentaine de patients Covid-19 était soigné, près de 50 au total ont été pris en charge sur l’EMR SSA. La situation s’est depuis considérablement améliorée à Mulhouse et dans la région. Depuis le 28 avril, l’hôpital est passé de 30 à 10 lits de réanimation. En six semaines, l’EMR aura fait ses preuves. Quand j’ai mon deuxième enfant au téléphone, il me dit que je suis un héros. » Moi, je pense qu’en tant que soldat, on a une mission et qu’on doit l’accomplir. Je voudrais qu’on pense à tous ceux qui nous attendent à la maison. Ils ont un grand rôle car ils nous soutiennent et ils gèrent tout, seuls. » En attendant de retrouver sa femme et ses enfants, le sergent Yacinthe participe aux opérations de démontage de la structure, sans savoir ce qu’il adviendra des prochaines semaines. L’EMR pourrait être réaffecté en fonction des besoins, en Outre-mer notamment. Calédoniens ailleurs sergent Yacinthe, engagé pour sauver des vies par ambre Le 68ème Régiment d’Artillerie d’Afrique situé au camp de la Valbonne a fêté le 16 avril dernier ses 80 ans d’audace et d’engagement. À cette occasion plusieurs manifestations sont prévues. Le 68ème Régiment d’Artillerie d’Afrique a soufflé le mois dernier sa quatre-vingtième bougie. Créé en 1941 en Algérie, il fut la première unité d’artillerie à débarquer en France le 15 août 1944. Depuis la Provence, ses hommes ont progressé jusqu’aux Alpes autrichiennes, en passant par la vallée du Rhône, la Bourgogne, les Vosges, la bataille d’Alsace en novembre, la libération de Mulhouse, le franchissement du Rhin, Baden-Baden, la forêt Noire, le Danube… Ancré dans son histoire, le conserve les traditions liées à son héritage nord africain. Le Djebel sert de foyer, la place d’armes colonel Rousset rend hommage au chef de corps tombé au champ d’honneur au cours des combats Marseille en 1944, le mouton Zaghouan est devenu la mascotte du Régiment. Un tough géant se termine sur la place d’armes, ainsi qu’un mur mettant en avant les insignes des anciens régiments d’artillerie d’Afrique. Le 4 juin prochain se déroulera une cérémonie consécratoire. Elle permettra d’inaugurer la statue Joseph, emblème du 68ème RAA, en souvenir de Joseph Avertin, présent lors du débarquement de Provence. Cette journée verra aussi l’arrivée d’un raid de 680 km entamé dimanche 30 mai depuis la plage de la Nartelle. Les soldats actuels de chacune des unités du régiment rendront hommage à ceux qui les ont précédés en Provence en effectuant le parcours par binôme coureur/cycliste. Durant cette journée, chacune des batteries présentera également ses activités. Rattaché à la septième brigade blindée, le compte près de 900 militaires, amenés à se déployer en Guyane, au Mali, en Irak ou encore en Nouvelle-Calédonie ces dernières années, ou encore en métropole dans le cadre des opérations Sentinelle ou de soutien logistique dans la lutte contre la pandémie de Covid-19. En utilisant le service de contact numérique de la gendarmerie nationale, vous acceptez les conditions générales d'utilisation du service disponibles à l'adresse informations recueillies font l’objet d’un traitement informatique placé sous la responsabilité de la Direction générale de la gendarmerie nationale, destiné à vous permettre l'envoi d'un courriel sur une question de sécurité quotidienne non urgente. Les destinataires des données sont les agents chargés de traiter votre courriel ou d'en assurer le suivi aux dispositions de la loi n°78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent, que vous pouvez exercer en vous adressant à DGGN, 4 rue Claude Bernard, CS 60003, 92136 ISSY LES MOULINEAUX CEDEX. Les FORTIFICATIONS de la CROIX-ROUSSE Les fortifications de la Croix-Rousse s’étendaient du Rhône à la Saône en ligne droite à l’emplacement du boulevard de la Croix-Rousse actuel. Un premier rempart existait probablement depuis le début du XV° siècle à cet endroit en avant du véritable rempart de Lyon qui était aux Terreaux. L’initiative du remplacement des vieux fossés » par une enceinte bastionnée revient au Roi Louis XII en 1512. La construction commence dès 1513 mais est très lente ; François Ier en 1523 nomme Jean Pérréal responsable des fortifications, dont la construction se poursuit jusque vers 1550 sous l’impulsion de Jean d’Albon. A cette date le Plan Scénographique de Lyon montre un rempart continu, dessiné de manière schématique percé d’une porte avec un pont-levis, la porte Saint-Sébastien. Après l’épisode du gouvernement protestant de la ville 1562-63, le roi Charles IX et sa mère visitent la ville en 1564. Il décide la construction d’une citadelle en haut des pentes de la Croix-Rousse, pour maintenir la ville dans l’obéissance. Construite elle reçoit en 1565 une garnison royale. Cette citadelle porte atteinte aux libertés de la ville et les lyonnais réclament sa démolition. En 1585 Henri III cédera aux revendications des lyonnais, les autorisant à la détruire, en leur faisant payer 40000£ pour lui en compensation. De même en 1602 le Consulat de Lyon craignant que les murailles puissent servir contre la ville obtient que les bastions soient ouverts vers la ville des murs intérieurs sont donc démolis. Plan de Simon Maupin vers 1620 XVII° XVIII° SIÈCLESVers 1600 l’ensemble compte 9 bastions à oreillons reliés par une courtine ; ils sont appelés en partant de la Saône 1- bastion St-Jean dominant la Saône 2- bastion Notre Dame 3- bastion de la Grenouille, 4- bastion de la Tourette 5- bastion de St- André 6- bastion St-Sébastien. Dans ce bastion St-Sébastien s’ouvre la porte du même nom ou porte de la Croix-Rousse, unique porte de l’enceinte au débouché de la montée de la Grand-Côte rue des Pierres Plantées donnant accès au plateau par la Grande Rue de la Croix-Rousse. 7- Bastion d’Orléans, 8- bastion St-Laurent, 9- bastion St-Clair au bord du Rhône. Le fort St Jean en 1670 Pendant les années 1630 sur l’initiative du gouverneur Charles d’Alincourt, la fortification est complétée et modernisée par une suite de 6 demi-lunes en avant du rempart entre les bastions leur emplacement se retrouve aujourd’hui dans le plan triangulaire de certaines places ou rues. En contrebas du fort St-Jean est ouverte sur la rive gauche de la Saône une porte fortifiée, la porte d’Alincourt ».Au début du XVIII° siècle les fortifications sont à l’abandon ; le bastion St-Clair sera démoli dès 1772 pour ouvrir le quai St-Clair le long du Rhône. Les pentes sont occupées en majorité par des établissements religieux. Plan des Remparts en 1789 La RÉVOLUTION En 1793 pendant le Siège de Lyon des batteries d’artillerie sont installées sur les bastions sur le bastion 1 en direction de Vaise, 5, 6, 7 en direction du plateau et 8 en direction des Brotteaux. En 1796 certains bastions Orléans et St-Laurent sont vendus comme Biens Nationaux à des investisseurs privés et la ville doit les racheter en 1819. Pendant les Cent-Jours en mai-juin 1815 sont entrepris dans l’urgence des travaux de remise en état des fortifications de Lyon on aplanit les bastions et on élève des parapets en terre. Mais il n’y aura pas de nouveau siège de Lyon, car les hostilités sont suspendues le 12 juillet. MONARCHIE DE JUILLETLes bastions seront cédés à l’Etat en 1832 pour la réorganisation des fortifications travaux du général baron Rohaut de Fleury directeur des fortifications de Lyon de 1831 à 1837. Le Fort Saint-Jean Les fortifications sont réparées et consolidées le bastion St-Jean est incorporé dans un fort constituant un puissant ouvrage superposant 7 niveaux d’artillerie avec des casernes intérieures 1834. Le bastion 6 très réduit inclut la porte principale, il est défendu par la caserne fortifiée des Bernardines. Le bastion St-Laurent est équipé vers 1835 d’une petite caserne fortifiée à 2 étages pour 400 hommes, flanquée d’une porte monumentale avec 2 pavillons d’octroi. Cette porte devait permettre aux soldats des casernes des pentes de sortir rapidement sur le plateau en cas de révolte. 1853 de gauche à droite la caserne des Bernardines, la porte, caserne et bastion Saint-Laurent DEUXIÈME RÉPUBLIQUE et SECOND EMPIREDès la chute de Louis-Philippe des militants révolutionnaires commencent la démolition de l’enceinte, qui avait la réputation d’avoir été construite pour contenir les type de fortification urbaine devient obsolète. L’enceinte est rétrocédée à la ville en 1862 et est percée par le chemin de fer de Sathonay, qui vient faire correspondance avec le funiculaire de la rue Terme en 1863. Le plan ci-dessous donne l’état des lieux vers 1865. Plan de 1865 La demi-lune entre le bastion d’Orléans et la porte de la Croix-Rousse a été convertie en gymnase militaire il en reste un portail isolé à l’intérieur du pâté de maison qui l’a remplacé. En 1867 le rempart est démoli pour faire place au boulevard de la Croix-Rousse d’abord nommé boulevard de l’Empereur ; en 1868 la porte St-Laurent est également démolie. Conservés pour leurs casernes, ne restent alors que le fort St-Jean et le bastion St-Laurent. Le Bastion Saint-Laurent en 2005 XX° SIÈCLELe fort St-Jean côté Saône héberge une partie du régiment logé à la caserne de Serin en contrebas. Puis il abrite la Défense anti-aérienne en 1939, la Pharmacie Régionale du Service de Santé de 1932 à 1984, puis l’Inspection des services vétérinaires et un magasin de réserve de mobilisation du Service de Santé jusqu’en 1998. Bien réaménagé, il accueille depuis 2004 l’Ecole Nationale du Trésor. Le bastion St-Laurent côté Rhône a hébergé depuis 1936 la Direction Régionale du Service de Santé des Armées elle a déménagé dans le bâtiment de l’Etat-major au quartier général Frère en juin 2014. Article de 2010 – dernière modification 05/2018

la valbonne camp militaire porte ouverte 2021